Truites et Rivières
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Rando pèche 2021

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Xavier
dede
Etienne
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Rando pèche 2021 Empty Rando pèche 2021

Message par Etienne Jeu 19 Aoû 2021 - 11:30

Bonjour à tous.
C’est parti pour le récit de notre randonnée annuelle de pèche. Au départ une boucle était prévue dans le Vicdessos, avec quatre lacs et du toc à foison. Mais mes deux comparses vont faire pression pour un aller et retour, moins ambitieux pour le sport, plus ambitieux pour la pèche. On va donc faire le choix d’un aller et retour toujours en Vicdessos, se limitant à deux lacs et du Toc en veux-tu en voilà et un parcours mouche spécial pour Eric, mais cette année c’est Eric qui fait involontairement défection pour des raisons de santé. Malgré cet évènement, la randonnée sera maintenue.
Si le maître de la pèche est présent c’est le spécialiste du bivouac qui manquera. On s’adapte en investissant un peu dans un tarp léger et un réchaud à gaz en remplacement du Colmann plus lourd finalement. De mon côté pleins d’évènements me font prendre un mois de vacances en entier (4 semaines), première fois de ma carrière de prendre ça d’affilée. La rando est prévue pour démarrer le 9 juillet. Je suis dans mes Pyrénées dès le 3. Le temps de s’installer, et le rythme est pris, le matin bricolage débroussaillage et l’après-midi, départ pour le coup du soir. Je vais ainsi faire les quatre ruisseaux les plus proches, d’abord dans le village, puis un petit tour dans celui du village au-dessus, puis l’autre du village, et enfin celui qui descends bien abrupt entre les deux. A chaque fois ce sera le carton de la plus petite à la maillée en passant par une 28 inespérée dans ce type de ruisseau. Je vais me gaver, à en avoir honte, mais quel plaisir, retour chaque soir à la nuit vers 22h pour un diner en célibataire l’occasion un soir de descendre une côte de bœuf de 800 grammes. C’est vrai que l’Ariège n’est pas un pays de légumes.
C’est le jeudi, jour d’arrivée d’Etienne, il a une longue route à faire pour déposer progéniture et autre associée d’une part et arriver dans mon pays de cailloux d’autre part. Les retrouvailles sont chaudes, entachées de l’absence d’Eric. C’est le moment de la pesée des sacs et la répartition du poids, on tourne à 17 Kg pas moyen de faire plus léger. Ce qui nous plombe c’est le matos de pèche, on y retravaillera sans doute.
Le petit matin, démarrage du bolide d’Etienne, qui va nous amener au fin fond d’une vallée du Vicdessos. Il fait plutôt beau par contre la météo pour le lundi nous annonce un peu de pluie. Et c’est le démarrage montée longue qu’ils disent dénivelé constant qu’ils annoncent, mais agréable car en sous-bois. Le parcours s’écoule effectivement ça monte régulièrement mais c’est dur moins entrainé peut-être, moins jeune aussi, et ce Covid qui ne m’as pas permis de me décrasser par des sorties montagnes régulières, n’a rien arrangé. On va monter dur ainsi jusque vers midi où le chemin finit en lacets devant un torrent magnifique qui va nous motiver et nous donner la ressource de redémarrer après manger alors qu’on a les jambes cassées. Ma hanche droite va me rappeler que quand je ne monte pas à mon rythme elle râle et proteste, me poussant à faire cavalier seul pour la suite. Et justement c’est plutôt plat, mais on est en pleine mouillère (marécage si vous voulez) et ce plat va être finalement pas si sympathique à traverser. Ah et là c’est l’intersection pour aller à l’autre lac, le grand, celui prévu lors de la boucle abandonnée sous la pression de mes compères, un bout à faire avec un dénivelé non négligeable, ce sera pour une autre fois. On continue dans cette mouillère le temps de trouver un endroit moins humide pour le casse-croûte. On est bien il fait beau ; 300 de dénivelé à faire on a fait un bon 2/3 de l’effort. On redémarre, à la fin de la mouillère c’est le pentu, une belle chute nous annonce qu’au-dessus le ruisseau doit-être agréable à pécher, on a bu notre litron chacun il est temps d’actionner notre filtre MSR Miniwork un truc d’Eric. Génial ce machin, je vous en ai déjà parlé, et là il est propre, résultat on refait les réserves avec une eau pure et sans indésirables souhaitant nous accélérer de façon irrespectueuse notre transit intestinal. On est prêt, le restant est devant, et ça va être vraiment dur, on ne va cesser de s’arrêter on a les jambes cassées, le repas peut-être, enfin pour dire que la fin du trajet va être pénible. Mais ça y est, le lac est devant nous, pas beaucoup de choix pour le bivouac, ici trop bosselé là trop près trop humide, le choix va se porter sur ce qui nous semble être bien. Un ruisseau pas loin pour l’eau la vue le lac tout est bien. On installe la tente et le Tarp. Pour fixer ce dernier on a le piquet de la tente d’un côté et le bâton de marche d’Etienne de l’autre, sardines et ficelles vont compléter cette fixation de l’abris bien utile quand il pleut. Enfin c’est toujours ce que l’on croit, il va s’avérer que cette notion mérite quelques pondérations. Le coup du soir s’impose, on remonte le lac avec notre matériel de Toc et on commence à explorer le ruisseau qui se jette dans le lac. Ah on va avoir des touches et nombreuses, que dis-je prolifiques, en effet à ce niveau le ruisseau est plutôt plat et est truffé de vairons, ici ou là on aura bien l’impression de voir de gros sujets mais le vers se fait dévorer par les vairons avant même que les sujets convoités y prêtent attention. Etienne va insister pour séduire les 30 à 40 qu’il voit dans ce début de parcours, moi je vais monter dans l’espoir de trouver l’endroit à partir duquel les vairons céderont la place. J’entame un plat magnifique pour la mouche, je vais faire un SDF dans une dérive sans vairons, mais ce sera le seul poisson de ce plat, à chaque petite chute ils sont là, nettoyant avec assiduité et voracité mon hameçon sans vergogne ni permission. Il faut aller plus loin, plus haut. La montagne va reprendre ses droits, fini ce beau plat où un troupeau de vaches se nourrit, une petite chute, encore des vairons, zut, mais à la chute d’après ce ne sera pas la même danse. A cet endroit je vais sortir plusieurs truites, et attendre mon acolyte afin que nous fassions le parcours ensemble. La pèche va être alors agréable, des poissons de toutes tailles (enfin pas des monstres non plus on est à plus de 2.000m) seront présents à quasiment chaque dérive tantôt pour moi tantôt pour Etienne.
Il est temps de rentrer se nourrir des protéines locale, comme d ‘habitude, et de notre plat favori de ces bivouac des pâtes 3 minutes cuites dans de l’eau agrémentée de bouillons cubes volaille-bœuf qui fait ensuite office de soupe. Il y a du vent qui fait claquer le tarp contre la tente, ce vent va durer toute la nuit et nous empêcher d’avoir un sommeil complet.
Après un bon petit déjeuner il est convenu de monter pour reprendre le parcours Toc ou nous l’avions laissé hier soir. De nouveau la pêche va être agréable, Etienne va mettre un soin particulier à explorer les bords de berges dans cette jasse plate qui se présente à nous. Ce sera l’occasion de faire des poissons plus que maillés. Puis ça monte à nouveau, le parcours honore toutes ses promesses, nous récompensant des efforts faits pour la montée. Le début d’après-midi sera le prétexte pour abandonner là ce parcours pour redescendre au lac et se restaurer. L’après-midi c’est du repos et sieste pour Etienne, moi je vais lancer quelques cuillères dans ce lac assez étendu mais finalement peu profond. Un gros truc va suivre une ondulante mais sans l’attaquer, ce sera le seul événement de ce début d’après-midi. Mais on prend conscience que c’est samedi, un tas de gugus, pécheurs randonneurs viennent bousculer notre tranquillité, des jeunes vont se baigner ici, planter la tente là, on se retrouve envahit. Qu’à cela ne tienne, on prend le matériel lac pour faire l’arrivée du ruisseau là-bas à l’autre bout. Et ça va plutôt pas mal marcher, moi avec mon ondulante et Etienne avec ses cuillères, le repas sera vite enrichi des protéines nécessaire à notre alimentation équilibrée. Mais lors d’un lancer un peu trop appuyé l’ondulante va aller se loger dans les herbes, en face dans une espèce d'île. Qu’à cela ne tienne, je remonte le cours d’eau, le traverse et me retrouve devant l’île en question. Là je peux traverser, comme quoi on peut être instruit et faire des imbécillités incommensurables et dangereuses, mais je ne vais en prendre conscience qu’après. Donc me voilà devant une espèce d’herbier pourri, avec environ 30 cm d’eau au-dessus. Le temps de me trouver un morceau de bois qui fera office de canne, d’enlever mes chaussures de montagne et me voilà comme les touristes qui ont oublié le maillot de bain le premier jour des vacances au bord de mer, en short pour faire trempette. Je sonde d’abord avec le bâton, bon ça s’enfonce mais il semble que vers 50 à 60 cm ce soit plus ferme. Aller j’y mets le pied. Poser le pied dans ces herbes n’est pas très ragoutant ce d’autant que la pression augmentant cette vase va libérer du gaz et faire des bulles en veux-tu en voilà. J’ai de l’eau jusqu'aux genoux, je n’ai pas loin à aller deux mètres ou trois, tout au plus. Qu’à cela ne tienne, l’ondulante le vaut bien. Deuxième pas, plus bulleux, plus profonds aussi. Dire que je suis rassuré est excessif, c’est la bêtise et l’inconscience qui domine. Un autre pas dans les bulles, l’eau jusqu’à mi-cuisse, et encore un autre et j’y suis. Je récupère mon leurre et fait le chemin dans l’autre sens. Ce n’est que bien plus tard que je me dis que j’ai eu de la chance qu’il n’y ait pas eu de l’H2S dans ce gaz, sinon je finissais comme les bretons avec leurs algues au bord de mer.
Le retour est sans histoire, la fin de partie de pèche sans prises supplémentaire, retour au bivouac sans avoir constaté que le pécheur ici n’était pas un grand causant d’ailleurs nous non plus on n’avait pas trop envie d’entamer la conversation.
Le soir se décide de faire pique-nique le lendemain et de commencer par un bout de toc là où nous nous étions arrêtés la veille et de finir dans le lac là-haut. Il n’y a pas plus de 300 à 400 m de dénivelé. La nuit se déroulera comme la précédente avec ce vent qui s’engouffrant dans le tarp fait un boucan d’enfer, cause d’une nouvelle nuit un peu agitée.
C’est Dimanche, le pique-nique est prêt, saucisse sèche pour la circonstance, fromage, pain, on est bon. On va monter moi en premier sinon ma hanche va râler, et je vais partir comme un dératé, on a deux plats puis on fait du toc quand ça remonte. Je vais tellement galoper et avoir l’impression qu’on était allés bien loin que lorsque je vais faire le point GPS on a très largement dépassé le début du parcours inexploré et qu’on s’est engagé dans une vallée qui ne nous mène pas au lac désiré. Le choix est fait de récupérer le ruisseau et le chemin qui nous mène au lac en prenant tout droit dans les rhododendrons. Je suis contrarié, fâché une fois de plus d’être con, d’avoir trop foncé, de ne pas avoir le sens de l’orientation et de l’observation qui me permettrait de ne pas me tromper aussi grossièrement. Etienne n’a rien dit. D’ailleur face à ce genre de situation jamais un reproche, jamais un « si tu ne fonçais pas comme ça », ni de « t’aurais dû », il subit cette traversée sans trop protester. On arrive enfin au ruisseau, on va tenter un coup de toc mais c’est trop petit, il n’y a personne là-dedans. Zut, je me reproche une nouvelle fois d’avoir bousillé le début de cette journée de pèche. Le chemin est là, mais au vu de la carte il s’éloigne du lac. Le choix est fait de monter tout droit par le ruisseau, bel effort en perspective, ce d’autant que là monte le pécheur peu causant d’hier soir, pas envie de faire le chemin avec lui. La montée va être sévère mais on va y arriver non sans faire quelques poses bien nécessaires. Deux petits lacs ici, nouvelle montée là et nous y voilà. Le spectacle est fabuleux, ce lac porte bien son nom et est d’un bleu azur magnifique. Un peu de toc et immédiatement on sort une paire de riquettes. On s’installe, il est temps de manger notre pique-nique. Mais bientôt une fois de plus notre solitude si agréable va être mise à mal par un tas de randonneurs les uns français les autres de cette principauté toute proche. A la hâte on va déménager, je vais oublier ma boite de cuillères, que je vais récupérer le temps de m’en apercevoir auprès d’un de ces randonneurs qui certes était là mais ne semblait pas avoir l’air d’en avoir l’esprit. Il avait bien l’intention de profiter de mon assortiment et c’est bien avec mauvaise grâce et devant mon air peu amène qu’il va me rendre ma boite.
L’après-midi commence, j’envoie mon panel de cuillère, mais rien pas une touche, ah ces lacs sont biens difficiles !, Etienne a préparé sa boite à leurres et balance un machin plein de triple et ma fois je n’aurais jamais misé sur un truc pareil. Premier lancé et immédiatement touche et pas une mollassonne, 35 cm au moins, le repas est assuré. Je lui pique un de ses leurres ressemblant à un vairon, j’aurais un suivi, mais ne vais pas y croire. Et là je balance une Panther Martin jaune à points noirs de la liste de Dom’ain. Et là bingo, touche, ce sera une à peine maillée. Etienne va s’acharner avec son poisson nageur sans succès supplémentaire alors que de mon côté je vais faire un carton avec cette Panther Martin, l’occasion de dire et redire merci à Dom pour ses conseils avisés et judicieux. On va avoir suffisamment de touches et de poisson pour finalement en remettre de la maillée à une de 35 que cette cuillère magique aura séduite.
C’est la fin de l’après-midi le temps de redescendre, retour au bivouac, on est enfin de nouveau seul, enfin la solitude, le calme, plus de baigneurs, plus de concurrents. On décide de modifier l’orientation du tarp pour ne pas avoir de bruit, il nous faut pour cela un piquet. On remet les sardines, impeccable si le vent passe par là comme les deux nuits précédentes, il ne fera pas claquer le tarp. Contents de nous, on se fait notre menu habituel fait de poisson, de bouillon et pâtes trois minutes, en dessert, il y a toujours une figue sèche ou un abricot sec pour clôturer le repas. Une brume commence à monter de la vallée sans nous inquiéter, il est temps de dormir, quelques gouttes tombent ici ou là, rien d’inquiétant. Mais une petite heure plus tard, le vent c’est bien levé, d’ailleurs le tarp ne fait pas le bruit habituel impeccable, on va pouvoir dormir. Ah un éclair, bon en comptant les secondes entre la lumière et le son et en multipliant par 400 m environ, on a la notion de la distance qui nous sépare des éclairs et donc de l’orage. Puis un autre, ah c’est plus sérieux, ah la pluie s’y met vraiment, le vent aussi, de plus en plus fort, on est maintenant dans le vacarme perpétuel de la foudre, de la pluie et du vent, et tout d’un coup un bruit inhabituel, la nuit est tombée depuis longtemps, Etienne jette un œil dehors, et constate que le tarp a été arraché et que nos affaires sont sous la pluie, en quelques secondes tout ce qui est précieux, sacs chaussures sont mis dans l’abris de la tente. Mince le tarp tout neuf est détruit, bon rien de grave en somme. Mais l’orage ne s’arrête pas, le vent redouble de fureur, la tente bouge à chaque rafale violente, je vais symboliquement tenir le mât tout en sachant que cela ne sert à rien, et ce petit manège va durer jusqu’à au moins minuit, Etienne ne cachant pas son inquiétude et moi faisant celui qui est serein alors que je n’en mène pas plus large que lui. Mais la tente tient, ma bonne veille « le vieux campeur » achetée pour mes premières randonnées d’adolescent, va remplir bravement son office et nous protéger de ces élément déchaînés. On constatera le lendemain qu’on est à peine mouillé aux pieds. Le lendemain matin Etienne est debout le premier, il sort et me dit que le tarp est détruit, bon pas une surprise, mais en y regardant de plus près il constate qu’il est intact, c’est une sardine qui a été arrachée, et la fixation au mât de la tente qui s’est défaite emportant une ficelle de fixation de la tente. Au total on s’en tire plus qu’honorablement avec une sardine perdue qui malgré mes recherches n’a pas été retrouvée et un sac plastique vide qui s’est envolé et rien de précieux qui soit mouillé.
On va espérer toute la matinée que la météo s’améliore mais rien à faire, la brume va nous convaincre d’écourter le séjour, décision est prise de rentrer. On va tout plier et préparer les sacs pour un départ en début d’après-midi. Ce sera une descente sous cette pluie fine glaciale qui donne l’impression qu’on se déplace dans un tas d’aiguilles. Je vais presser le pas, Etienne va chuter dans l’herbier marécageux, quant à moi trop sûr de moi au premier passage caillouteux je vais me gameller comme jamais, sans conséquence à part un petit hématome sur le dos de la main. La descente va ensuite devenir plus agréable, la pluie ayant cessé. Nous serons à la voiture vers 19h, le temps d’avoir un peu de réseau pour dire à nos proches que nous sommes rentrés et d’apprendre que la nuit précédente le vent avait soufflé à 190Km/h au port d’Envalira. En un mot on a essuyé une sacrée tempête.
Le repas du soir sera comme la tradition l’exige : copieux, arrosé, on avait décidé de troquer le confit de canard pour une côte de bœuf achetée avant le départ histoire qu’elle mature un peu, par contre les petites pommes de terre rissolées à la graisse de canard avaient été maintenues au menu.
Inutile de vous dire qu’on a bien dormi la nuit qui a suivi.
Voilà, en remerciant ceux qui m’ont lu jusqu’au bout comme d’habitude.
 
 Place aux photos:
les ariégeoises autour du village:

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Il faut toutes les tailles il a dit le shefff

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bon un peu d'images du ruisseau

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un autre 
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la 28
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ceux qui connaissent et qui passent côté droit en descendant reconnaissent:
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encore quelques unes:
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Nos tronches en début de randonnée:
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Petite halte:
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Le ruisseau est magnifique on s'est promis de le faire au retour, mais ce sera pour une autre fois:
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un peu plus haut:
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le plat avant la mouillère:
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La mouillère:
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on y est

Le bivouac et la vue du bivouac:
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Au risque de faire hurler certains.....

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Contre jour:
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un poisson local avec le sourire indescriptible:
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C'est beau la montagne:
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Le lac du haut:
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Voilà ce qu'on en sort, celle là parmi d'autre retournera dans son élément la pèche ayant été suffisante pour notre appétit.
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Celle là aussi....










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Le retour dans cette brume aux mille piquants:

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Voilà en espérant vous avoir une fois de plus diverti

Le Bandoulier.
Etienne
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Message par dede Jeu 19 Aoû 2021 - 13:35

joli récit Etienne comme d'hab, bon évidemment là je connais par cœur d'ailleurs j'y suis passé au printemps en faisant le Pic au dessus du 2eme lac Wink effectivement la jasse au dessus du 1er lac est magnifique et longue, vous avez été jusqu’à la cabane ?
dede
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maraud t'as pas de conscience

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Message par Etienne Jeu 19 Aoû 2021 - 14:05

dede a écrit:joli récit Etienne comme d'hab, bon évidemment là je connais par cœur d'ailleurs j'y suis passé au printemps en faisant le Pic au dessus du 2eme lac Wink effectivement la jasse au dessus du 1er lac est magnifique et longue, vous avez été jusqu’à la cabane ?
Je n'ai pas vu de cabane au dessus du lac, mais on a pris un chemin un peu "bizarre" pour aller au deuxième.  Very Happy
Etienne
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Message par dede Jeu 19 Aoû 2021 - 15:21

non la cabane est sur la jasse au dessus du 1er lac en continuant tout droit
dede
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maraud t'as pas de conscience

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Message par Etienne Jeu 19 Aoû 2021 - 15:23

dede a écrit:non la cabane est sur la jasse au dessus du 1er lac en continuant tout droit
Pas vu, mais bon j'ai la vue courte et je regarde mes pompes quand je marche  Rando pèche 2021 269558
Etienne
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Message par Xavier Jeu 19 Aoû 2021 - 17:03

Beau récit, un sac plastique perdu, c'est pire que de manger des truites  Rando pèche 2021 271131  fucking
Xavier
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Message par Etienne Jeu 19 Aoû 2021 - 17:22

Xavier a écrit:Beau récit, un sac plastique perdu, c'est pire que de manger des truites  Rando pèche 2021 271131  fucking
Oui j'ai pollué  Crying or Very sad
Etienne
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Xavier aime ce message

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Message par erikduvar Jeu 19 Aoû 2021 - 21:23

Bravo pour ce roman,la montagne c'est toujours beau et même très beau super
erikduvar
erikduvar

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Message par fabdep Ven 20 Aoû 2021 - 8:03

Superbe récit d'une sympathique rando Bandoulier... super te bile pas , il n'y a aucun souci à savourer quelques truites .... 
merci pour le partage.... Wink

fab
fabdep
fabdep
to po du cokwo ?

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Message par jeandu31 Lun 23 Aoû 2021 - 14:07

Toujours aussi prolixe Etienne, superbe "crapahut" en duo en Vicdessos, avec de belles rencontres et quelques émotions "orageuses" également.
  Sois rassuré, ce n'est as le fait de manger quelques truites qui va dépeupler les lacs et les rivières, il y bien d'autres facteurs limitants et même rédhibitoires, dans certains endroits, pour expliquer le phénomène.
  A savoir également que dans ces secteurs de haute montagne, sans un alevinage héliporté, la population de salmonidés ne pourrait se maintenir à un bon niveau, tant le milieu est pauvre.
jeandu31
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Message par lolo48 Mer 25 Aoû 2021 - 18:39

Etienne a écrit:
dede a écrit:non la cabane est sur la jasse au dessus du 1er lac en continuant tout droit
Pas vu, mais bon j'ai la vue courte et je regarde mes pompes quand je marche  Rando pèche 2021 269558
Et les bras longs  large sourire 1 Rando pèche 2021 269558
lolo48
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m'endoné, tout peut aller très vite

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