Et encore une nouvelle pollution !

Salut à tous !
Le Furon, rivière de 1ère catégorie descendant du Vercors et affluent de l'Isère viens encore de subir une nouvelle pollution, des centaines de truites mortes, Philippe Crouzet ami et animateur de la fédération de pêche à alerter les médias , voici le reportage passé sur TéléGrenoble

encore dû à la connerie humaine!mais ils vont réparer:roll:

MARAUD a écrit:encore dû à la connerie humaine!mais ils vont réparer:roll:

 Ouais !  ils vont faire appel à Nicolas Hulot, spécialiste des réseaux souterrains, un truc de ouf , ils veulent réouvrir les busages sur certains endroits pour avoir accès à la rivière, comme si ils n'aurait pas pu y penser avant  

Le mal étant fait, il ne peuvent que guérir  
A voir si avec des travaux ceci se reproduira ... 

Si j'ai bien compris, ce serait dû aux eaux pluviales ?

Salut valentin, oui c'est ce qui est dit dans le reportage, gageons que ce qui est dit est la vraie cause, dés que j'en saurais plus , je mettrais l'info

En même temps faut voir aussi l'état de la rivière avant la confluence avec l'ISère : canalisé gravement, élargissement du lit, eau très stagnante, algues à tout va...ça doit pas aider à l'autoépuration!

C'est désolant quand on voit cette si belle rivière sur la partie haute qui est magnifique!

Bah voilà, Man nous montre trop de grosses truites cote d'orienne, y'en a qui y sont allés à la javel pendant ses vacances!!!

Bon, j''extrapole un peu! 

 
Côte-d'Or - Faits divers Diénay : une cinquantaine de truites mortes dans l'Ignon
Notez cet article :

le 18/07/2013 à 22:25 Vu 1850 fois

Partager


Envoyer à un ami

Les gendarmes d'Is-sur-Tille et les responsables de l'Onema, spécialisés dans les pollutions aquatiques étaient ce midi à Diénay, pour constater la mort d'une cinquantaine de truites et d'ombres dans l'Ignon.
En cause, "probablement une pollution localisée ou un acte de malveillance, voire de braconnage", détaille Michèle Chanussot, maire de Diénay. "La pollution est vraiment très localisée, sur environ 500 mètres", précise Gilles Marache à l'Onema. "Nous avons fait des prélèvements, mais il est toujours difficile de trouver l'origine d'une pollution."
L'enquête a été confiée à la gendarmerie d'Is-sur-Tille ainsi à l'Onema.