Pour les spécialistes

Castor 1er de la Castille a écrit:Au secours ...       A rien compris  Bon je vais chercher la corde .

Bon puisque c'est comme cela que tu me traites mon chèr Castor, je te jette mon gant à la figure   et je t'attend sur le pré de Bellevaux au petit soir du samedi 14 juin 2014, je te laisse le choix des armes     

laisser faire la nature, elle fera ce qu'elle pourra, les truites s'adapteront un peu
je préférerai voir les pêcheurs militer pour une europe sans pesticide

Aux temps ou nous vivons ,  pour laisser faire la nature , il faudrait revenir au moyen age . 

Je ne comprends pas ton raisonne Castor : "le biotope pourrait produire plus de truites mais ça ne se fait pas car il est pollué donc si on rajoute des poissons ils ne seront pas en trop, etc."
Mais non! Je pense que c'est très rare les cas de rivière où la production est insuffisante par rapport aux capacités d'accueil du milieu. Je pense au contraire qu'elle est quasiment toujours au-delà et que c'est le milieu, en tenant compte de son état tel qu'il est et non tel qu'on l'idéaliserait, qui réduit.
Mettre 100 truites (qui dit mieux?) là où il peut y en avoir 10 ça changera pas grand chose au problème...

milou a écrit:Mettre 100 truites (qui dit mieux?) là où il peut y en avoir 10 ça changera pas grand chose au problème...

Sauf si tu les lâche à la maille et tu indique les dates de déversement, elles ne seront pas longtemps surdensitaires...  

Il n'y a pas besoin d'aide à la reproduction dans un milieu sain. Les femelles pondent 1 500 à 4 000 œufs par kilogramme de leur poids. S'il reste une truite de 25 cm avec un mâle en théorie ils va y avoir plus de 200 œufs. Avec une population normale d'une truite au mètre linéaire c'est 1 à 2 % de poissons qui arriveront adultes. Avec un déficit de densité, c'est 5 ou 10 ou 20% et le ruisseau revient à la normalité aussitôt que le milieu le permet. Le reste c'est du tripatouillage pour se faire plaisir ou si l'on veut se prendre pour Dieu.