Ruisseling
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Re: Ruisseling
Ouais, ils ont beau faire ça que 2 fois dans l'année... pire que les dégradation, c'est d'une débilité affligeante, y'a des trucs on peut essayer de comprendre mais là c'est quoi le délire? se faire chier dans la caillasse et la forêt avec des planches de bois et des godasses en plastoc au pied? faire risquer les jambes ou la vie de ses potes par la surenchère? j'espère pour eux qu'il n'y a pas de pratique commerciale déguisé parceque le jour où il y en a un qui se fracasse (ce qui va forcément arrivé), ça va finir à Bonneville, j'imagine bien le genre de "ryders, t'inquiètes j' maitrise" qui prennent les gnomes des écoles de ski pour des piquets de slalom.
Geoffrey73- Date d'inscription : 04/05/2013
Re: Ruisseling
c est pas plus tordu que descendre des cols en caisse a savon avec un pilote deguisé en mayalabeille ou autre sport extrem . faut se garder de juger les autres .
je trouve ca bonne esprit , c est une grosse parodie qui passe le temp avant la neige , faut pas chercher a comprendre.
a mon avis on prend plus de risque en riviere , a escalader des gorges ( la canne entre les dents ) ou traverser avec un fort débit , pour trouver le spot a grosse truite ... c est nous les RYDERS !! !!
je trouve ca bonne esprit , c est une grosse parodie qui passe le temp avant la neige , faut pas chercher a comprendre.
a mon avis on prend plus de risque en riviere , a escalader des gorges ( la canne entre les dents ) ou traverser avec un fort débit , pour trouver le spot a grosse truite ... c est nous les RYDERS !! !!
bill73- Date d'inscription : 22/07/2015
Re: Ruisseling
Ce qui est fun devient vite débile quand tu mets un pote dans le trou à cause de ce genre d'exploit à la con...crois moi!
Geoffrey73- Date d'inscription : 04/05/2013
Re: Ruisseling
Je reviens sur ce sujet, qui nous touche particulièrement en tant "qu'utilisateurs (payants) du milieu aquatique" après avoir vu, dernièrement, un reportage dans le journal du 20h00 de France2.
En ces temps de sécheresse sévère et de surfréquentation touristique sur nos "belles" rivières, cela me laisse dubitatif et m'interroge sur le comportement irresponsable d'une certaine frange de la population, voici l'article qui relate cette situation ==>
https://reporterre.net/Les-gorges-du-Toulourenc-symbole-des-ravages-du-tourisme-de-masse
et la vidéo qui m'a révulsé ==> I C I
En ces temps de sécheresse sévère et de surfréquentation touristique sur nos "belles" rivières, cela me laisse dubitatif et m'interroge sur le comportement irresponsable d'une certaine frange de la population, voici l'article qui relate cette situation ==>
https://reporterre.net/Les-gorges-du-Toulourenc-symbole-des-ravages-du-tourisme-de-masse
et la vidéo qui m'a révulsé ==> I C I
jeandu31- Date d'inscription : 17/05/2010
Xavier aime ce message
Re: Ruisseling
Aprés un sujet dans le JT de la 6, j'avais écrit un p'tit mot à la FD Savoie, voici la réponse très complète qui m'a été faite:
Ma question:
Salut tout le monde!
aller, ça fait longtemps que je n'ai rien dit au sujet du ruisseling, mais après ce reportage aux infos de la 6 (même de la pub), j'aimerais savoir si ce texte de loi est appliqué? "Le I de l'article L. 214-3 du code de l'environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « La fédération départementale ou interdépartementale des associations de pêche et de protection du milieu aquatique ainsi que les associations départementales ou interdépartementales agréées de la pêche professionnelle en eau douce sont tenues informées des autorisations relatives aux ouvrages, travaux, activités et installations de nature à détruire les frayères ou les zones de croissance ou d'alimentation de la faune piscicole. »"
A bientôt et bonnes vacances à tous!
Arvi
Xavier
La réponse:
Ma question:
Salut tout le monde!
aller, ça fait longtemps que je n'ai rien dit au sujet du ruisseling, mais après ce reportage aux infos de la 6 (même de la pub), j'aimerais savoir si ce texte de loi est appliqué? "Le I de l'article L. 214-3 du code de l'environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « La fédération départementale ou interdépartementale des associations de pêche et de protection du milieu aquatique ainsi que les associations départementales ou interdépartementales agréées de la pêche professionnelle en eau douce sont tenues informées des autorisations relatives aux ouvrages, travaux, activités et installations de nature à détruire les frayères ou les zones de croissance ou d'alimentation de la faune piscicole. »"
A bientôt et bonnes vacances à tous!
Arvi
Xavier
La réponse:
On est pas sorti de l'auberge....
Bonjour,
Cet article de la loi sur l’eau énonce une obligation des services instructeurs des dossiers de déclaration concernant des activités ou des travaux ayant un impact potentiel sur les frayères et donc sur des cours d’eau classés comme telle d’en informer les collectivités piscicoles.
Il est toujours bon de rappeler les textes, cependant, le ruisselling et le canyoning ne sont des activités soumises à déclaration et pas (encore) reconnus comme des activités ayant un impact sur les frayères pour deux raisons :
-La première : nous ne disposons pas d’étude fiable et globale permettant de démontrer un impact flagrant et direct sur le compartiment piscicole.
-La seconde : la pratique se déroule généralement en cours d’eau de montagne en dehors de la période de reproduction des salmonidés et donc pas sur des frayères actives. Aux yeux de la loi, il est difficile de les faire entrer dans le dispositif (nomenclature).
Je pense que vous le savez, les pistes les plus sérieuses sont de mettre autour de la table les usagers concernés et de sensibiliser. Cependant les Fédé peuvent difficilement organiser toutes les concertations qui concernent les milieux aquatiques : hydroélectricité, sports nautique, atteintes aux milieux aquatiques, travaux en cours d’eau, « police de l’environnement »… Ce sont donc les services de l’Etat au niveau départemental qui doivent structurer les démarches ce qui n’est pas évident vu de là-haut puisque, de loin, tous les enjeux se s’entrechoquent. C’est là que les collectivités piscicoles et leurs membres entrent en scène. Ils font remonter des informations concises et objectives depuis le terrain. Leur fédération les collecte et, au regard du développement de certains usages, sollicite la DDT pour l’informer, la sensibiliser et déclencher des actions de concertation voir d’encadrement des pratiques en bon intelligence (effectifs, périodes, secteurs… cf. sport d’eaux vives en Tarentaise…). Elle en informe aussi la FNPF afin qu’elle puisse agir auprès des ministères concernés. Plus simplement, nous commençons aussi à mettre en place des campagnes de sensibilisation des usagers par ces temps secs et caniculaires.
L’autre piste est de faire remonter du terrain des éléments concis et objectifs de constats d’impacts sur les milieux aquatiques afin de constituer une base sur laquelle s’appuyer afin de lancer des études d’impacts à plus ou moins grande échelle (ex : fiches de signalement atteintes aux milieux aquatiques FSPPMA). Etudes qui, si elle donnent des résultats significatifs, serviront d’argument pour encadrer réglementairement certaines pratiques voir les faire entrer dans la nomenclature loi eau. Vu les coûts à engager et le lobbying à exercer auprès des ministères, c’est plutôt la FNPF qui est concernée ici.
Encore une fois se pose la question du partage du milieu aquatique entre les usagers et du poids réel des collectivités piscicoles qui sont les seuls usagers à devoir détenir un droit d’usage (droit de pêche, parfois onéreux), s’acquitter d’une cotisation (CPMA), réaliser des missions d’intérêt général (développement du loisir pêche et protection du milieu aquatique et des ressources piscicoles dont les AAPPMA sont, par leur caractère social et économique « le principal élément » d’après l’article L430-1 du code de l’environnement) tout cela basé sur le bénévolat…
Si l’on considère l’augmentation des pressions anthropiques sur les milieux naturels (ressources en eau, changements climatiques…), la complexification du système administratif et des démarches réglementaires, nos pratiquants qui sont doucement passés d’acteurs à consommateurs, les mouvements anti pêche et, pour finir, une majorité d’élus et de sociaux-professionnels qui ne considèrent pas notre activité comme crédible économiquement… on comprend certaines choses.
Une chose est sûre, sans la présence des pêcheurs au bord de l’eau, nombre de pollutions, de travaux illégaux etc…. passeraient inaperçus et nos cours d’eau seraient en bien pire état.
Les autres usages se doivent donc de ne pas être impactant et un cadrage semble inévitable si l’on ne veut pas voir les milieux aquatiques devenir sur fréquentés. J’en veux pour preuve la fermeture régulière du péage de la sortie vers le lac d’Aiguebelette en été et la montée en altitude des activités nautiques en lien avec le réchauffement climatique. Nous commençons à voir apparaître kayaks et paddles sur les lacs de barrage et naturels de montagne !
Je me tiens à votre disposition pour tout complément d’information.
Cordialement,
Xavier- Date d'inscription : 12/08/2006
Re: Ruisseling
Je connais un peu le coin. Le reportage montre très bien ce qui se fait sur cette rivière en été !
J’ai même vu des gens installéS au milieu du cours d’eau, assis sur des fauteuils de camping, les pieds dans l’eau en sirotant un verre !
C’est une vrai autoroute !
Cet été j’ai vu un peu la même chose aux cascades de Sillans, situées en Provence à Sillans la cascade à côté de Cotignac. Cette rivière, la Bresques, a un profil de cascades et de vasques qui se succèdent.
Chaque trous est une baignoire géante où pataugent papa, maman, la bonne et les gosses !
On se serait cru dans le métro ! J‘ai rencontré et discuté avec deux employés qui travaillent pour le parc régional du Verdon.
Les pauvres, elles étaient là pour essayer de faire de la prévention, mais devant la montagne qui s’élevait devant elles, le sentiment de découragement dominait.
J’ai même vu des gens installéS au milieu du cours d’eau, assis sur des fauteuils de camping, les pieds dans l’eau en sirotant un verre !
C’est une vrai autoroute !
Cet été j’ai vu un peu la même chose aux cascades de Sillans, situées en Provence à Sillans la cascade à côté de Cotignac. Cette rivière, la Bresques, a un profil de cascades et de vasques qui se succèdent.
Chaque trous est une baignoire géante où pataugent papa, maman, la bonne et les gosses !
On se serait cru dans le métro ! J‘ai rencontré et discuté avec deux employés qui travaillent pour le parc régional du Verdon.
Les pauvres, elles étaient là pour essayer de faire de la prévention, mais devant la montagne qui s’élevait devant elles, le sentiment de découragement dominait.
toctoctoc60- Date d'inscription : 14/01/2009
Re: Ruisseling
Ils sont sur les mêmes plaquettes dans les offices de tourisme... Pis avec ce confinage et surtout ce déconfinage et tous ces zamoureux de la nature débutant que ça charrie, faut pas rêver, ' sont pas fous et ils les ont vu arriver et de loin. Vivement qu'ils retournent à la mer!Xavier a écrit:Aprés un sujet dans le JT de la 6, j'avais écrit un p'tit mot à la FD Savoie, voici la réponse très complète qui m'a été faite:
Ma question:
Salut tout le monde!
aller, ça fait longtemps que je n'ai rien dit au sujet du ruisseling, mais après ce reportage aux infos de la 6 (même de la pub), j'aimerais savoir si ce texte de loi est appliqué? "Le I de l'article L. 214-3 du code de l'environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « La fédération départementale ou interdépartementale des associations de pêche et de protection du milieu aquatique ainsi que les associations départementales ou interdépartementales agréées de la pêche professionnelle en eau douce sont tenues informées des autorisations relatives aux ouvrages, travaux, activités et installations de nature à détruire les frayères ou les zones de croissance ou d'alimentation de la faune piscicole. »"
A bientôt et bonnes vacances à tous!
Arvi
Xavier
La réponse:On est pas sorti de l'auberge....
Bonjour,
Cet article de la loi sur l’eau énonce une obligation des services instructeurs des dossiers de déclaration concernant des activités ou des travaux ayant un impact potentiel sur les frayères et donc sur des cours d’eau classés comme telle d’en informer les collectivités piscicoles.
Il est toujours bon de rappeler les textes, cependant, le ruisselling et le canyoning ne sont des activités soumises à déclaration et pas (encore) reconnus comme des activités ayant un impact sur les frayères pour deux raisons :
-La première : nous ne disposons pas d’étude fiable et globale permettant de démontrer un impact flagrant et direct sur le compartiment piscicole.
-La seconde : la pratique se déroule généralement en cours d’eau de montagne en dehors de la période de reproduction des salmonidés et donc pas sur des frayères actives. Aux yeux de la loi, il est difficile de les faire entrer dans le dispositif (nomenclature).
Je pense que vous le savez, les pistes les plus sérieuses sont de mettre autour de la table les usagers concernés et de sensibiliser. Cependant les Fédé peuvent difficilement organiser toutes les concertations qui concernent les milieux aquatiques : hydroélectricité, sports nautique, atteintes aux milieux aquatiques, travaux en cours d’eau, « police de l’environnement »… Ce sont donc les services de l’Etat au niveau départemental qui doivent structurer les démarches ce qui n’est pas évident vu de là-haut puisque, de loin, tous les enjeux se s’entrechoquent. C’est là que les collectivités piscicoles et leurs membres entrent en scène. Ils font remonter des informations concises et objectives depuis le terrain. Leur fédération les collecte et, au regard du développement de certains usages, sollicite la DDT pour l’informer, la sensibiliser et déclencher des actions de concertation voir d’encadrement des pratiques en bon intelligence (effectifs, périodes, secteurs… cf. sport d’eaux vives en Tarentaise…). Elle en informe aussi la FNPF afin qu’elle puisse agir auprès des ministères concernés. Plus simplement, nous commençons aussi à mettre en place des campagnes de sensibilisation des usagers par ces temps secs et caniculaires.
L’autre piste est de faire remonter du terrain des éléments concis et objectifs de constats d’impacts sur les milieux aquatiques afin de constituer une base sur laquelle s’appuyer afin de lancer des études d’impacts à plus ou moins grande échelle (ex : fiches de signalement atteintes aux milieux aquatiques FSPPMA). Etudes qui, si elle donnent des résultats significatifs, serviront d’argument pour encadrer réglementairement certaines pratiques voir les faire entrer dans la nomenclature loi eau. Vu les coûts à engager et le lobbying à exercer auprès des ministères, c’est plutôt la FNPF qui est concernée ici.
Encore une fois se pose la question du partage du milieu aquatique entre les usagers et du poids réel des collectivités piscicoles qui sont les seuls usagers à devoir détenir un droit d’usage (droit de pêche, parfois onéreux), s’acquitter d’une cotisation (CPMA), réaliser des missions d’intérêt général (développement du loisir pêche et protection du milieu aquatique et des ressources piscicoles dont les AAPPMA sont, par leur caractère social et économique « le principal élément » d’après l’article L430-1 du code de l’environnement) tout cela basé sur le bénévolat…
Si l’on considère l’augmentation des pressions anthropiques sur les milieux naturels (ressources en eau, changements climatiques…), la complexification du système administratif et des démarches réglementaires, nos pratiquants qui sont doucement passés d’acteurs à consommateurs, les mouvements anti pêche et, pour finir, une majorité d’élus et de sociaux-professionnels qui ne considèrent pas notre activité comme crédible économiquement… on comprend certaines choses.
Une chose est sûre, sans la présence des pêcheurs au bord de l’eau, nombre de pollutions, de travaux illégaux etc…. passeraient inaperçus et nos cours d’eau seraient en bien pire état.
Les autres usages se doivent donc de ne pas être impactant et un cadrage semble inévitable si l’on ne veut pas voir les milieux aquatiques devenir sur fréquentés. J’en veux pour preuve la fermeture régulière du péage de la sortie vers le lac d’Aiguebelette en été et la montée en altitude des activités nautiques en lien avec le réchauffement climatique. Nous commençons à voir apparaître kayaks et paddles sur les lacs de barrage et naturels de montagne !
Je me tiens à votre disposition pour tout complément d’information.
Cordialement,
Geoffrey73- Date d'inscription : 04/05/2013
fabdep aime ce message
Re: Ruisseling
Ah non
ils ont débarqué en masse ici aussi et nous ont inondé de Covid, nous qu'on en n'avais plus
ils ont débarqué en masse ici aussi et nous ont inondé de Covid, nous qu'on en n'avais plus
Etienne- Le Bandoulier du 66
- Date d'inscription : 04/02/2011
Re: Ruisseling
Voir l’arrêté du préfet du Jura sur la fréquentation des rivières ..
Claude07- Date d'inscription : 04/10/2011
Re: Ruisseling
... où ça ?Claude07 a écrit:Voir l’arrêté du préfet du Jura sur la fréquentation des rivières ..
jeandu31- Date d'inscription : 17/05/2010
Re: Ruisseling
Peut-être sur le site de la préfecture du Jura ??jeandu31 a écrit:... où ça ?Claude07 a écrit:Voir l’arrêté du préfet du Jura sur la fréquentation des rivières ..
Re: Ruisseling
Je suppose qu'il fait référence à cet arrêté-là ==> I C I art :3-2-4
C'est vrai que vu le niveau des rivières (Doubs, Jura...) -ou plutôt les assecs- montrées à la télé, interdire le rafting me paraît une chose judicieuse !
Et vous en Lozère vous n'avez pas trop souffert (question rivières) de la chaleur et de la sécheresse..?
Quand on voit tout ce qu'il est tombé ce W-E sur les Cévennes !!
C'est vrai que vu le niveau des rivières (Doubs, Jura...) -ou plutôt les assecs- montrées à la télé, interdire le rafting me paraît une chose judicieuse !
Et vous en Lozère vous n'avez pas trop souffert (question rivières) de la chaleur et de la sécheresse..?
Quand on voit tout ce qu'il est tombé ce W-E sur les Cévennes !!
jeandu31- Date d'inscription : 17/05/2010
Re: Ruisseling
Le Tarn et le Lot s'en sont sorti, par contre en Margeride les 2 crues de prinptemps ont été dévastatrices pour les juveniles et les assecs et la chaleur ont été très trop importants et il y a une perte importante de truites.jeandu31 a écrit:
Et vous en Lozère vous n'avez pas trop souffert (question rivières) de la chaleur et de la sécheresse..?
Quand on voit tout ce qu'il est tombé ce W-E sur les Cévennes !!
Re: Ruisseling
flyman30 a écrit:Le Tarn et le Lot s'en sont sorti, par contre en Margeride les 2 crues de prinptemps ont été dévastatrices pour les juveniles et les assecs et la chaleur ont été très trop importants et il y a une perte importante de truites.jeandu31 a écrit:
Et vous en Lozère vous n'avez pas trop souffert (question rivières) de la chaleur et de la sécheresse..?
Quand on voit tout ce qu'il est tombé ce W-E sur les Cévennes !!
.... donc le reste, Truyère, Rimeïze, Bès et autres très impactés par la canicule et le manque d'eau.?? Cela commence à faire pas mal d'années de suite !
jeandu31- Date d'inscription : 17/05/2010
Re: Ruisseling
jeandu31 a écrit:
.... donc le reste, Truyère, Rimeïze, Bès et autres très impactés par la canicule et le manque d'eau.?? Cela commence à faire pas mal d'années de suite !
Malheureusement le changement climatique nous impacte de plus en plus.
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